jeudi 8 août 2013

Pétage quand même, finalement...

Alors donc, poussés par un vague sentiment d'amour propre et par l'inimitié que le peuple vaillant des bricoleurs à grosses chaussettes porte au matériaux-qui-résistent en général, on s'est recollés à la destruction laborieuse de la base et du palier de l'escalier. 
Après être venus à bout de la gangue de béton autour de l'armature métallique de la bête, nous avons enfin pu passer la ferraille à la disqueuse et, l'ensemble arrimé au solide tilleul, laisser l'arrière-arrière petit-fils de Gustave Perret s'écrouler bêtement dans le jardin. Mine de rien, une bonne chose de faite ! Y'a plus qu'à dépecer et évacuer le tout : ce qui restera surement le plus gros du boulot !